Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

Nous aidons les parents et les professionnels à accompagner les jeunes de manière compétente dans leur usage des médias - afin que les enfants et les jeunes utilisent les médias numériques de manière sûre et responsable.
 

A propos de nous

La brochure sur les compétences numériques, qui s'adresse aux parents et aux personnes de référence des enfants et des jeunes, a été entièrement remaniée au…

Plus

Les chiffres sont éloquents. En Suisse, un jeune sur deux déclare avoir déjà subi au moins une fois du harcèlement sexuel en ligne (étude JAMES 2022). Il ne…

Plus

Lors de sa séance du 26 juin 2024, le Conseil fédéral a fixé l’entrée en vigueur de la première étape de la nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les…

Plus

Metta fin al mobing : c’est du romanche. Notre campagne contre le harcèlement et le cyberharcèlement « Not a joke » sera menée pour la deuxième fois ces…

Plus

Lisez notre blog

| Noëmi Pommes

Malgré mes efforts pour lui donner une éducation non genrée, mon fils de 12 ans est confronté à des exemples et des idéaux de virilité douteux, voire toxiquex :…

| Bettina Bichsel

Elles ont l’air sérieuses et proposent des prix imbattables. Mais après avoir payé, vous ne recevez rien ou alors de la camelote. Comment aider les jeunes à…

| Ella Müller | Bettina Bichsel

À l’âge de 13 ans, ma fille a été victime d’abus sexuels sur Internet. La peur d’avoir commis une infraction s’ajoute à la honte et à l’expérience de la…

| Bettina Bichsel

Les sexfluencers parlent ouvertement de plaisir et de frustration, il suffit d’un clic pour lancer un porno et l’anonymat d’Internet permet de poser toutes les…

Suivez-nous sur Instagram

[Lien avec l'intégralité de l'article de Felix Straumann, pour la @tdgch, dans notre bio]

▶ [Résumé] Une récente...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Felix Straumann, pour la @tdgch, dans notre bio] ▶ [Résumé] Une récente méta-analyse remet en question le lien présumé entre l'utilisation des réseaux sociaux et les troubles psychiques chez les jeunes. L'étude, publiée dans " Professional Psychology: Research and Practice", a examiné 46 études scientifiques de 2012 à 2022. Les chercheurs, menés par Christopher J. Ferguson de l'Université Stetson en Floride, concluent qu'il n'existe pas de preuves scientifiques solides étayant cette corrélation. Bien que les inquiétudes des parents soient compréhensibles, les auteurs critiquent la tendance à pointer du doigt uniquement les réseaux sociaux, négligeant d'autres facteurs potentiels. Ils mettent en garde contre une rhétorique alarmiste non fondée scientifiquement. Le débat sur les effets néfastes des plateformes comme Instagram, TikTok ou Snapchat s'intensifie. Des figures comme Manfred Spitzer et Jonathan Haidt ont alimenté ces craintes. En Suisse, certains cantons envisagent même d'interdire les smartphones à l'école obligatoire. 👉 Cependant, Daniel Süss, professeur de psychologie des médias, souligne l'importance de cette méta-analyse qui reflète l'état actuel des connaissances scientifiques. Il invite à la prudence face aux interprétations hâtives et unilatérales de l'utilisation des outils de communication en ligne. L'étude ne donne pas carte blanche aux géants de la technologie, mais suggère que les causes de l'augmentation des troubles psychiques chez les jeunes sont plus complexes. D'autres facteurs comme la pression sur les performances, la solitude, ou la peur de l'avenir seraient plus déterminants que le temps passé sur #smartphone . 💡 Au lieu d'interdictions, Süss préconise une meilleure éducation aux enjeux et risques des #réseauxsociaux, tant à l'école qu'en famille. Il recommande d'écouter davantage les jeunes et de les aider à utiliser les outils numériques de manière responsable. Enfin, la déstigmatisation des #problèmespsychiques pourrait expliquer en partie l'augmentation des cas observés, ce qui n'est pas nécessairement négatif. #parentaliténumerique #eduquerlesenfants #santementale

[Lien avec la version PDF actualisée de notre brochure « Compétences numériques : recommandations pour l'utilisation des...

[Lien avec la version PDF actualisée de notre brochure « Compétences numériques : recommandations pour l'utilisation des médias numériques » dans notre bio ou sur notre site] ▶ Les enfants et les jeunes grandissent aujourd'hui dans un univers numérique riche et en constante évolution. Les parents se sentent souvent déstabilisés et s'interrogent sur le temps d'écran approprié et les risques et opportunités associés. Certains parents voudraient préserver leurs enfants des #médiasnumériques. Mais ce n'est ni possible, ni souhaitable. Les médias offrent des opportunités de développement et d'apprentissage. Les enfants doivent apprendre à évoluer en sécurité dans l'univers numérique et à trouver un équilibre entre expériences réelles et virtuelles. Il est crucial qu'ils acquièrent des compétences numériques. ℹ Cette version actualisée de notre guide répond aux questions fréquentes sur les jeunes et les médias numériques. Il vise à encourager les parents à encadrer activement leurs enfants dans cet usage. Les conflits qui peuvent surgir font partie de l'apprentissage mutuel. Les #parents qui relèvent ce défi et restent à l'écoute de leurs #enfants font le bon choix, même s'ils se sentent moins à l'aise techniquement. Il est important d'accompagner les enfants dans leur découverte du numérique plutôt que de l'interdire. Fixez des règles claires sur le #tempsdécran et les contenus autorisés. Intéressez-vous à ce que font vos enfants en ligne et discutez-en avec eux. Apprenez-leur à avoir un regard critique sur les informations trouvées sur internet. Sensibilisez-les aux risques comme le #cyberharcèlement ou les fausses informations. Montrez l'exemple en ayant vous-même un usage raisonné des écrans. L'éducation aux médias numériques est un processus continu. En restant impliqués et ouverts au dialogue, vous aiderez vos enfants à devenir des citoyens numériques responsables et avertis. #compétencesnumériques #littératienumérique #parentaliténumerique #citoyenneténumérique #educationauxmedias

[Lien avec les différentes sources et publications qui ont été utilisées pour créer cet article, dans notre bio]

▶ Le...

[Lien avec les différentes sources et publications qui ont été utilisées pour créer cet article, dans notre bio] ▶ Le débat sur la pertinence des compétences acquises par le jeu vidéo dans le monde professionnel a été relancé par le post LinkedIn d'un jeune employé de banque, Loris, annonçant fièrement son rang d'"Ultimate Champion" sur "Clash Royale". Cette démarche inhabituelle a suscité globalement des réactions positives. Mais cette stratégie est-elle vraiment efficace pour attirer des recruteurs? Patrick Schulz, cofondateur de l'agence de recrutement IGA Talent, émet des réserves: «Si ce jeune homme m'avait décrit son succès sur «Clash Royale» lors d'un entretien, je ne l'aurais pas considéré comme un candidat sérieux et professionnel».. Néanmoins, des études scientifiques récentes mettent en lumière les bénéfices du gaming sur le développement de compétences transférables en entreprise. L'Université de Surrey a démontré que les jeux vidéo améliorent la résolution de problèmes, la planification stratégique et l'organisation. Léo Fichet, fondateur de Yuzu.hr, souligne que les joueurs développent des soft skills essentielles comme la gestion de conflits, la concentration et la persévérance. La neuroscientifique Daphne Bavelier a prouvé que les jeux vidéo renforcent l'attention, la vision, la rapidité et la précision, des compétences qui se transfèrent à la vie quotidienne et professionnelle. Un article sur Cadremploi confirme l'intérêt croissant des recruteurs pour les gamers, reconnaissant leurs aptitudes en concentration, pugnacité et gestion de conflits. Ainsi, bien que controversée, l'initiative de Loris s'inscrit dans une tendance émergente où le gaming est valorisé pour ses effets positifs sur des compétences professionnelles. Cette évolution reflète un changement de perception du jeu vidéo et l'apparition de nouvelles façons de mettre en avant ses talents sur le marché de l'emploi. #gaming #recrutement #compétencesprofessionnelles #softskills #metacognition #apprendreparlejeu

[Lien avec l'intégralité de l'article de Blick.ch/ via ATS Agence télégraphique suisse, dans notre bio]

▶ [Résumé] Le...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Blick.ch/ via ATS Agence télégraphique suisse, dans notre bio] ▶ [Résumé] Le nouveau Centre d'appels Europe, un organe extrajudiciaire indépendant, sera chargé de trancher les litiges des utilisateurs européens de Facebook, TikTok et YouTube avant la fin de l'année. Financé initialement par la gouvernance du conseil de surveillance de Meta, ce centre comptera sept membres et sera distinct du conseil de surveillance existant. Les utilisateurs pourront y faire appel pour des décisions concernant des contenus signalés ou des suppressions de compte. "Nous voulons que les utilisateurs aient le choix de soumettre un litige à un organisme indépendant des gouvernements et des entreprises, qui veille à ce que les politiques de contenu des plateformes soient appliquées de manière équitable et impartiale", a déclaré Thomas Hughes, directeur général du Centre d'appel. Cette initiative répond aux exigences du règlement européen sur les services numériques (DSA), qui impose aux plateformes de fournir un accès à un organe extrajudiciaire pour résoudre les contentieux. L'objectif est de rééquilibrer les pouvoirs entre utilisateurs, plateformes et gouvernements en offrant aux individus la possibilité de contester les décisions prises en ligne. Siégeant à Dublin et certifié par le régulateur irlandais des médias, le Centre d'appels Europe vise à rendre plus accessible la contestation des décisions des géants technologiques. Il ne remplace pas le système judiciaire traditionnel mais offre une alternative plus rapide et moins coûteuse. Les utilisateurs paieront 5 euros pour présenter leurs griefs, tandis que les plateformes devront s'acquitter de 100 euros par dossier. Cette structure répond aux accusations fréquentes de censure ou de laxisme envers la désinformation et le harcèlement dont font l'objet les réseaux sociaux. Elle s'inscrit dans un contexte où la Commission européenne exprime régulièrement ses inquiétudes quant à la protection des utilisateurs, notamment les mineurs, face aux contenus nuisibles sur ces plateformes. #ModerationContenu #ReseauxSociaux #DroitsNumeriques #RGPD #digitalservicesact