Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques
Nous aidons les parents et les professionnels à accompagner les jeunes de manière compétente dans leur usage des médias - afin que les enfants et les jeunes utilisent les médias numériques de manière sûre et responsable.
![[Accéder à l'intégralité du communiqué d' @europol.eu, dans notre bio]
▶️ [Résumé] Les communautés violentes en ligne dédiées à la maltraitance des enfants connaissent une expansion préoccupante. Europol alerte sur ces groupes sectaires qui normalisent la violence, radicalisent des jeunes et propagent des idéologies criminelles inspirant des fusillades de masse et des attentats. Structurés autour de leaders charismatiques, ces réseaux utilisent la manipulation et la tromperie pour recruter des victimes et des délinquants, fonctionnant selon une hiérarchie où la diffusion de contenus extrêmes – violences, cruauté animale, exploitation sexuelle – est valorisée.
Les plateformes numériques sont le terrain privilégié de ces groupes, exploitant les jeux en ligne, le streaming et les réseaux sociaux pour identifier des cibles, principalement des mineurs vulnérables âgés de 8 à 17 ans, dont des personnes LGBTQ+, des minorités et des #jeunes en détresse psychologique. Les criminels infiltrent aussi des communautés d’entraide pour repérer leurs proies. Le « love bombing », qui consiste à prodiguer des marques d'affection excessives, est une technique fréquemment utilisée pour gagner la confiance des victimes avant de les exploiter. Une fois piégés, les jeunes subissent du chantage et sont contraints à produire des contenus explicites ou à commettre des actes violents.
💡 La vigilance des familles et des éducateurs est essentielle pour contrer cette menace. Il est crucial de repérer des signaux d’alerte tels que l’isolement, le secret sur les activités en ligne, un intérêt pour des contenus préjudiciables ou des interactions inhabituelles avec des inconnus. La coopération internationale est indispensable pour démanteler ces réseaux et protéger les générations futures de cette #criminalité en ligne croissante.
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![[Accéder à l'intégralité de l'article de la Dre Joanne Orlando, ainsi que des conseils pour les parents, pour @theconversation.fr, dans notre bio]
▶️ [Résumé] L’octroi d’un premier téléphone à un enfant est une décision qui demande réflexion. La sécurité est souvent un argument central, notamment pour rester en contact lors des trajets ou en cas d’urgence. Cependant, la pression sociale joue aussi un rôle, car de nombreux enfants réclament un téléphone en voyant leurs amis en posséder un.
L’âge ne doit pas être le seul critère déterminant. Il est essentiel d’évaluer la maturité de l’enfant et son rapport aux technologies avant de prendre une décision. Un enfant prêt à posséder un téléphone doit déjà faire preuve de responsabilité, respecter les règles de temps d’écran et être capable de discuter ouvertement de ses expériences en ligne avec ses parents. Il doit également comprendre les enjeux de la confidentialité et de la sécurité numérique.
Avant d’opter pour un smartphone complet, des alternatives existent. Une montre connectée ou un téléphone basique permet de communiquer sans accès à Internet. Une tablette familiale avec un contrôle parental peut aussi être une solution temporaire pour les échanges avec les amis.
Si un téléphone est accordé, il est recommandé d’instaurer une transition progressive, avec des restrictions et un suivi parental. Un accompagnement régulier dans l’utilisation de l’appareil permet de prévenir les excès et d’inculquer de bonnes habitudes numériques.
💡 Trois discussions sont essentielles : la gestion des demandes d’amis, la régulation du temps d’écran et la maîtrise des notifications, qui peuvent perturber la concentration et le sommeil. Fixer des règles claires, comme des plages horaires sans téléphone, aide à maintenir un équilibre sain.
L’objectif principal est d’adapter l’accès aux technologies aux besoins réels de l’enfant plutôt qu’à la pression sociale, tout en favorisant une communication ouverte et une approche éducative.
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![[Lien avec le podcast audio de Radio-Canada, animé par Benoit Michaud, dans notre bio]
▶️ Que ce soit à travers la politique, les scandales médiatiques, ou les déclarations controversées, l’actualité en provenance des États-Unis semble s’inviter partout, à toute heure sur nos ondes. Pour certains, cette omniprésence peut être une source de fatigue, mais elle génère aussi une anxiété grandissante. Est-il possible qu’on en parle trop, est-ce qu’au contraire, cette couverture est justifiée et quel est l’impact sur notre santé mentale collective?
Pascale Brillon, psychologue spécialisée en stress et anxiété, et reconnue pour son expertise sur la fatigue informationnelle, affirme justement qu’elle a observé cette anxiété dans les cliniques où elle travaille. On sent beaucoup de sentiments de trahison, de colère chez la population, d’incrédulité même, de déséquilibre et de confusion, raconte-t-elle. La fatigue des nouvelles rappelle aussi la pandémie, alors que plusieurs se sentaient bombardés d’informations.
🗣 « Comme on est beaucoup plus en présence constante d’informations facilement accessibles, on peut voir effectivement l’impact sur la santé mentale et la résilience des citoyens. »
— Pascale Brillon, psychologue
Ce stress au niveau de notre santé mentale peut aussi se transmettre en stress physique. Pascale Brillon note que certains ont remarqué des problèmes de sommeil ou des tensions musculaires.
Alors, quelles stratégies peut-on utiliser pour faire face à ce stress ?
💡 La psychologue recommande de prendre soin de trois types de résilience, soit physique, cognitive et émotionnelle. Cela veut dire de bien prendre soin de son corps, donc bien manger, dormir et faire de l’exercice physique. Ensuite, elle suggère de mettre des limites et choisir adéquatement les sources de nouvelles. Finalement, pour la résilience émotionnelle, il suffit de trouver des sources de réconfort et de bienveillance.
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#pressionmédiatique](https://scontent-zrh1-1.cdninstagram.com/v/t51.75761-15/479499352_18026349728634890_771123278417685676_n.jpg?stp=dst-jpg_e35_tt6&_nc_cat=101&ccb=1-7&_nc_sid=18de74&_nc_ohc=z870z0A7tAgQ7kNvgFCKxPh&_nc_oc=AdhDPzV39YS745Nlm2jOApd0ZgotadwfraS4MlcWaLSxlPhlOoO2izCXZruuKadTGzU&_nc_zt=23&_nc_ht=scontent-zrh1-1.cdninstagram.com&edm=ANo9K5cEAAAA&_nc_gid=AIz4kTOTZFWTzVLMoKqKr7T&oh=00_AYComX6oqRka_c3qSblZjC1UrqBrqVTCUiV3S_yLYrWalg&oe=67BED121)
![[Accéder à l'intégralité de l'article de Léa Fournier, pour @letudiant_ , dans notre bio]
▶️ [Résumé] Éloïse, psychomotricienne de 26 ans, découvre ainsi la cordonnerie via une simple vidéo. Séduite par ce savoir-faire, elle décide d’explorer ce domaine, contacte un professionnel et prévoit une immersion en atelier avant d’entamer une formation. Son cas illustre une tendance grandissante : selon une étude de #Dewalt et #WorldSkills International, 44 % des jeunes professionnels ont vu leur orientation influencée par les réseaux sociaux, souvent grâce à des influenceurs ou des marques spécialisées.
Lise, ex-juriste de 29 ans, se reconvertit en perruquière après avoir découvert ce métier de niche sur Instagram. Voir des professionnels en action lui permet de mieux comprendre le métier, bien au-delà des descriptions classiques disponibles en ligne. Elle commence par des formations dispensées par des spécialistes sur Instagram, puis contacte des enseignants et des étudiants pour approfondir ses connaissances.
De même, Eléonore, initialement engagée dans la culture, se découvre une passion pour la cuisine en partageant ses recettes sur Instagram pendant le confinement. Contactée pour un poste de cuisinière, elle franchit le pas et obtient un CAP cuisine à 26 ans, prouvant que les réseaux sociaux ne sont pas seulement une source d’inspiration mais aussi un levier d’opportunités professionnelles.
Enfin, Pauline, ex-journaliste de 28 ans, trouve sa vocation d’enseignante grâce aux témoignages de professeurs sur Instagram et TikTok. Avant de s’engager, elle réalise un stage en école pour confronter ses attentes à la réalité du métier. Si ces plateformes lui apportent inspiration et méthodes pédagogiques, elle reconnaît aussi leur potentiel anxiogène, rappelant l’importance du contact humain et de l’expérience sur le terrain.
Les réseaux sociaux sont ainsi devenus un puissant outil d’orientation, combinant inspiration, formation et opportunités concrètes, bien que leur influence doive être nuancée par une approche plus pragmatique du monde du travail.
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#ApprendreAutrement](https://scontent-zrh1-1.cdninstagram.com/v/t51.75761-15/479568178_18026100533634890_4957445903106089885_n.jpg?stp=dst-jpg_e35_tt6&_nc_cat=102&ccb=1-7&_nc_sid=18de74&_nc_ohc=KI44nd2tEUUQ7kNvgHo7ztW&_nc_oc=AdgUxZqaF9VrVJ-W4-1cUtPSXKmUfX4wFfdzpQlTXIJi72fcwlvR1xmFPJqcXndvK-s&_nc_zt=23&_nc_ht=scontent-zrh1-1.cdninstagram.com&edm=ANo9K5cEAAAA&_nc_gid=AIz4kTOTZFWTzVLMoKqKr7T&oh=00_AYDs988sLMihaAuUrBG_S2A3vMRUAxqj4GcZyISNu_GakA&oe=67BECD9B)