Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

Nous aidons les parents et les professionnels à accompagner les jeunes de manière compétente dans leur usage des médias - afin que les enfants et les jeunes utilisent les médias numériques de manière sûre et responsable.
 

A propos de nous

Lors de sa séance du 26 juin 2024, le Conseil fédéral a fixé l’entrée en vigueur de la première étape de la nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les…

Plus

Metta fin al mobing : c’est du romanche. Notre campagne contre le harcèlement et le cyberharcèlement « Not a joke » sera menée pour la deuxième fois ces…

Plus

Qu'est-ce qui a occupé l'équipe de Jeunesse et Médias 2023 ? Que prévoyons-nous pour l'année à venir ? C'est ce que nous avons résumé ici pour vous.

Plus

Depuis les attaques terroristes du Hamas contre Israël et la réaction de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, les agressions contre les personnes juives…

Plus

Lisez notre blog

| Bettina Bichsel

Comment est-ce possible ? C'est la question qui prévaut lorsque les jeunes se radicalisent. Et en plus : Quel est le rôle d’Internet dans tout cela ?

| Bettina Bichsel

Il suffit de jeter un coup d’œil sur Instagram pour se rendre à l’évidence : elles existent bel et bien, les familles parfaites. Les réseaux sociaux peuvent…

| Bettina Bichsel

Les cas de pédocriminalités sur Internet se sont multipliés ces dernières années. Il faut donc redoubler d’efforts pour protéger les enfants et les jeunes.

| Bettina Bichsel

La nouvelle application Lite de TikTok a relancé le débat sur le potentiel addictif des réseaux sociaux. Que savons-nous sur les mécanismes d’addiction à ces…

Suivez-nous sur Instagram

[Lien avec l'étude de TA-SWISS, dans notre bio]

▶ Le décès d’un proche est une étape difficile sur le plan émotionnel...

[Lien avec l'étude de TA-SWISS, dans notre bio] ▶ Le décès d’un proche est une étape difficile sur le plan émotionnel et peut devenir véritablement pesant lorsqu’il s’agit de s’occuper du patrimoine numérique de la personne disparue. À la gestion de cet héritage s’ajoute l’injonction à pérenniser sous une forme numérisée son vécu, ses réalisations et sa personnalité. Si la défunte ou le défunt n’a laissé aucune recommandation, ses héritiers – juridiques et moraux – se retrouvent souvent démunis devant cette masse de données numériques intimes. Les nouvelles possibilités offertes par Internet, les réseaux sociaux, et aussi par l’IA, bouleversent les rituels de deuil habituels, et posent la question des besoins dans le domaine mortuaire. Aujourd’hui, une personne qui décède laisse derrière elle une multitude de données et toute sorte de possessions virtuelles, de ses e-mails et autres comptes clients à ses archives de photos dans le cloud, en passant par ses profils de médias sociaux. C’est à ses ayants droit qu’il incombe de s’occuper de cet héritage numérique. Face à la complexité de cette tâche, un nouveau marché de services en ligne et d’assistance numérique s’est développé. Certaines prestations offrent aux proches en deuil la possibilité de rester en contact avec un être cher, du moins dans un espace virtuel. 👉 L’étude interdisciplinaire de TA-SWISS examine la manière dont les outils de la #digitalafterlife modifient notre rapport à la mort, à la mortalité, au deuil et à la culture funéraire, ainsi que les questions juridiques, éthiques et de protection des données qui y sont liées. L’étude, qui sera publiée en juillet, a été réalisée par une équipe interdisciplinaire sous la direction de Jean-Daniel Strub, cofondateur d’ethix – laboratoire d’éthique de l’innovation. #rapportalamort #mortnumerique #espacevirtuel #reseauxsociaux #tracesnumeriques #empreintenumerique #donnéespersonnelles #patrimoinenumérique

[Lien avec l'intégralité de l'article de Kathleen Couillard pour @agence.science.presse, dans notre bio]

▶ [Résumé de...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Kathleen Couillard pour @agence.science.presse, dans notre bio] ▶ [Résumé de l'article] L'intelligence artificielle (IA) est de plus en plus utilisée pour détecter les fausses nouvelles en ligne. Des chercheurs ont développé un système d'IA capable de vérifier les faits avec une précision de 92%. Ce système analyse le contenu, compare avec des sources fiables et attribue un score de véracité. Cependant, l'IA a aussi le potentiel de créer de la désinformation très crédible. Des modèles de langage comme GPT-3 peuvent générer du texte cohérent et convaincant, même si le contenu est faux. Cela pourrait amplifier la diffusion de fausses nouvelles. De plus, l'IA peut être biaisée si elle est entraînée sur des données partiales. Elle pourrait alors favoriser certains points de vue. Les systèmes d'IA sont aussi vulnérables aux attaques adverses, où des inputs malveillants perturbent leurs prédictions. Malgré ces défis, l'IA reste un outil prometteur contre la désinformation. Des approches comme l'analyse du langage naturel, l'extraction d'information et l'apprentissage automatique peuvent aider à détecter les patterns de fausses nouvelles. Mais l'IA ne peut pas remplacer complètement le jugement humain. Une collaboration entre l'IA et des fact-checkeurs humains est nécessaire. L'éducation aux médias est aussi cruciale pour aider les gens à identifier la désinformation. En somme, bien que l'IA puisse aider à combattre les fausses nouvelles, elle comporte aussi des risques. Une approche nuancée combinant technologie et perspicacité humaine sera essentielle pour s'attaquer à ce problème complexe à l'ère numérique. #intelligenceartificielle #faussesnouvelles #desinformation #factchecking #vérificationdesfaits #educationauxmedias #penséecritique #approchepédagogique

[Lien avec l'intégralité de l'article de Bettina Bichsel, ainsi que des conseils pour les parents, dans notre bio ou...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Bettina Bichsel, ainsi que des conseils pour les parents, dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/] ▶️ [Résumé de l'article] Les enfants et les jeunes passent de plus en plus de temps en ligne, que ce soit pour jouer, communiquer ou s'informer. Cependant, ils ne sont pas toujours conscients des risques liés à l'utilisation d'Internet et des réseaux sociaux. C'est pourquoi il est essentiel que les développeurs de jeux et d'applications prennent en compte la protection de l'enfance dès la conception de leurs produits. Plusieurs mesures peuvent être mises en place pour garantir un environnement numérique sûr et adapté aux enfants. Tout d'abord, il est important de proposer des contenus appropriés à leur âge et de filtrer ceux qui pourraient être choquants ou inappropriés. Les paramètres de confidentialité doivent également être configurés par défaut pour protéger les données personnelles des jeunes utilisateurs. Les développeurs peuvent aussi intégrer des fonctionnalités permettant aux parents de superviser et de contrôler l'activité en ligne de leurs enfants, comme la limitation du temps d'écran ou le blocage de certaines fonctionnalités. Des outils de signalement doivent être facilement accessibles pour permettre aux utilisateurs de signaler tout contenu ou comportement inapproprié. La sensibilisation et l'éducation des enfants et des parents sont également cruciales. Les développeurs peuvent inclure des messages de prévention et des conseils de sécurité directement dans leurs applications. En collaborant avec des experts en protection de l'enfance et en impliquant les jeunes dans le processus de développement, ils peuvent créer des produits numériques à la fois divertissants et sécurisés. En plaçant la protection de l'enfance au cœur de leur démarche, les développeurs contribuent à créer un environnement numérique plus sain et plus sûr pour les générations futures. #SécuritéNumérique #ParentalitéNumérique  #donnéespersonnelles #SensibilisationNumérique  #BienÊtreNumérique  #cybertisques #cybercriminalité #littératienumérique