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La brochure sur les compétences numériques, qui s'adresse aux parents et aux personnes de référence des enfants et des jeunes, a été entièrement remaniée au…

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Elles ont l’air sérieuses et proposent des prix imbattables. Mais après avoir payé, vous ne recevez rien ou alors de la camelote. Comment aider les jeunes à…

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[Lien avec l'intégralité de l'article de Telecablesat.fr via @bloomberg, dans notre bio]

▶ [Résumé] @instagram...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Telecablesat.fr via @bloomberg, dans notre bio] ▶ [Résumé] @instagram développe un outil basé sur l'intelligence artificielle pour détecter l'âge des utilisateurs en analysant leurs activités sur la plateforme. Alors que l'#ageminimum requis est de 13 ans (16 ans en Europe et en Suisse), de nombreux jeunes contournent cette restriction sans difficulté. Face aux critiques concernant l'impact négatif du réseau social sur la santé mentale des adolescents, Meta, la société mère d'Instagram, prend des mesures concrètes. L'entreprise déploie un "classificateur d'adultes", un système d'IA capable de catégoriser les utilisateurs selon leur âge (plus ou moins de 18 ans). Cette technologie examine minutieusement les profils, les listes d'abonnés et les interactions avec les contenus pour évaluer l'âge probable des utilisateurs. Selon Bloomberg, les comptes identifiés comme appartenant à des #mineurs seront automatiquement soumis à des paramètres de #confidentialité plus stricts. Cette initiative s'inscrit dans le prolongement du lancement des comptes spéciaux pour #adolescents en septembre. Ces comptes, destinés aux 13-17 ans, intègrent plusieurs mesures de protection : ils sont privés par défaut, nécessitant une validation pour les nouveaux abonnés, et limitent les interactions aux comptes suivis uniquement. La messagerie est restreinte aux échanges avec les abonnés confirmés, et les mentions ne sont possibles que par les comptes suivis. Les contenus sensibles, comme ceux liés à la violence ou à la chirurgie esthétique, sont filtrés des recherches et des Reels. De plus, le système envoie une notification après une heure d'utilisation quotidienne, encourageant les jeunes à faire une pause. Les parents conservent toutefois la possibilité de modifier ces restrictions s'ils le jugent approprié. Ces mesures témoignent de l'engagement de Meta à protéger ses jeunes utilisateurs, même si l'efficacité réelle de ces dispositifs reste à démontrer. PS on ne sais pas quand @meta déploiera cette nouvelle fonctionnalité en Suisse. #intelligenceartificielle #legalage

[Lien avec l'intégralité de l'article d'Océane Blanchard, pour @Yahoonews France, dans notre bio]

▶ [Résumé] La...

[Lien avec l'intégralité de l'article d'Océane Blanchard, pour @Yahoonews France, dans notre bio] ▶ [Résumé] La tendance du "mouth taping", consistant à se scotcher la bouche pendant le sommeil pour ne respirer que par le nez, connaît un succès viral sur les réseaux sociaux, particulièrement sur TikTok. Cette pratique, qui cumule des millions de vues, est notamment mise en avant par des athlètes de renom comme le footballeur Erling Haaland et le canoéiste Adam Burgess. Les promoteurs de cette méthode vantent ses supposés bienfaits : amélioration du sommeil, gain d'énergie et réduction des ronflements. Cependant, la communauté médicale exprime de sérieuses réserves face à cette pratique dépourvue de fondement scientifique. Les spécialistes soulignent que l'obstruction volontaire des voies respiratoires peut au contraire entraver l'oxygénation cérébrale. Le corps humain possède déjà un système naturel de régulation respiratoire pendant le sommeil, rendant cette technique superflue. La possibilité d'ouvrir la bouche constitue même un mécanisme de sécurité essentiel en cas d'obstruction nasale. Si certains athlètes de haut niveau pratiquent le "mouth taping", leur situation diffère significativement de celle du grand public. Ces sportifs bénéficient d'un suivi médical constant et d'une surveillance quotidienne de leurs paramètres physiologiques. Pour la population générale, cette pratique présente des risques non négligeables : possibilité d'insomnies non détectées et, plus grave encore, risque d'étouffement. Le danger est particulièrement préoccupant pour les personnes souffrant d'apnée du sommeil non diagnostiquée. En cas de troubles du sommeil, la consultation médicale reste la seule approche recommandée, plutôt que l'automédication par le scotch. #biendormir #santésommeil #sportsante #mouthtaping #apneedusommeil #tiktoktrend #bienfaitssommeil

[Lien avec l'article de Mathilde Simon pour @usbek_et_rica, dans notre bio]

▶ [Résumé] La durée d'attention moyenne des...

[Lien avec l'article de Mathilde Simon pour @usbek_et_rica, dans notre bio] ▶ [Résumé] La durée d'attention moyenne des humains serait désormais de 8 secondes, soit 4 secondes de moins qu'au début du millénaire. Cette diminution s'explique par plusieurs facteurs : l'urbanisation croissante, la numérisation du travail avec ses 333 milliards d'emails quotidiens, et l'omniprésence des #smartphones consultés jusqu'à 80 fois par jour. Notre #cerveau est confronté à une bataille cognitive permanente. Il possède deux types d'attention : volontaire pour la #concentration et involontaire pour capter les informations environnantes. Cette dernière, essentielle à notre survie ancestrale, s'avère inadaptée à l'#èrenumérique où les #notifications remplacent les dangers réels. Les études montrent que nous passons près de 47% de notre temps à penser à autre chose que notre tâche en cours. Les #plateformesnumériques exploitent cette vulnérabilité via le #doomscrolling, les notifications et les likes. Les jeunes sont particulièrement touchés. Néanmoins, Nicolas Nova, socio-anthropologue et auteur du livre "Smartphones : une enquête anthropologique", constate que face à cette submersion cognitive, des stratégies de résistance émergent pour ne pas se laisser submerger par les sollicitations incessantes de leur téléphone. Les uns paramètrent leurs notifications, quand les autres préfèrent utiliser des applications pour bloquer le temps passé… sur d’autres applications. « Il y a aussi ceux qui activent leur mode avion avant de ranger leur téléphone dans leur poche, ou ceux qui ne réparent pas un écran ou une touche cassée, voyant d’un œil salvateur l’inconfort que cela induit », énumère Nicolas Nova. Dans le monde professionnel, les interruptions sont coûteuses : il faut 23 minutes pour retrouver sa concentration après une distraction de plus de dix secondes. Cependant, la distraction n'est pas que négative. Elle peut favoriser la #créativité, l'apprentissage et les relations sociales. Des solutions existent pour maintenir nos capacités attentionnelles, comme le sport, la musique ou la méditation, tandis que la recherche développe des techniques pour "rajeunir" l'attention.

[Lien avec l'intégralité de l'article de Alexandre Boero, pour Clubic.com, ainsi qu'avec la notice d'Europol, dans notre...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Alexandre Boero, pour Clubic.com, ainsi qu'avec la notice d'Europol, dans notre bio] ▶ [Résumé] Une nouvelle tendance inquiétante émerge dans le monde criminel : le recrutement massif de mineurs via les réseaux sociaux. Plus de 70% des marchés criminels impliquent désormais des adolescents, particulièrement dans le trafic de drogue, la fraude en ligne et la cybercriminalité. Les recruteurs adoptent les codes de communication de la génération Z, utilisant émojis, messages codés et langage adapté pour établir un premier contact discret sur des applications chiffrées garantissant l'anonymat. La stratégie repose sur la promesse d'argent facile, avec des sommes pouvant atteindre 20 000 euros pour les actes les plus graves. Ces activités illégales sont présentées comme de simples "opportunités business", masquant leur vraie nature derrière un vocabulaire entrepreneurial séduisant. Les criminels ciblent particulièrement les adolescents vulnérables en quête de reconnaissance, créant un sentiment d'appartenance et d'exclusivité. Un phénomène de "gamification" du crime organisé se développe : les missions illégales sont transformées en challenges rappelant l'univers des jeux vidéo, banalisant ainsi la gravité des actes. Les mineurs, généralement âgés de 13 à 17 ans, sont utilisés comme dealers, coursiers, voire impliqués dans des activités violentes. Certains jeux vidéo servent même d'outils d'entraînement pour enseigner des techniques violentes. 👉 Les réseaux criminels privilégient les mineurs car ils présentent un risque minimal en cas d'arrestation. Sans casier judiciaire et avec une connaissance limitée de l'organisation, ils deviennent des recrues idéales, étant moins susceptibles de collaborer avec les autorités. #europol #préventioncyber #sécuritéenligne #protectionjeunesse #reseauxsociaux #cybersécurité #crimeprevention #protectionmineurs #cybercriminalité