Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

Nous aidons les parents et les professionnels à accompagner les jeunes de manière compétente dans leur usage des médias - afin que les enfants et les jeunes utilisent les médias numériques de manière sûre et responsable.
 

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Lors de sa séance du 26 juin 2024, le Conseil fédéral a fixé l’entrée en vigueur de la première étape de la nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les…

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Metta fin al mobing : c’est du romanche. Notre campagne contre le harcèlement et le cyberharcèlement « Not a joke » sera menée pour la deuxième fois ces…

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Qu'est-ce qui a occupé l'équipe de Jeunesse et Médias 2023 ? Que prévoyons-nous pour l'année à venir ? C'est ce que nous avons résumé ici pour vous.

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Depuis les attaques terroristes du Hamas contre Israël et la réaction de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, les agressions contre les personnes juives…

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| Bettina Bichsel

Le nouveau droit pénal en matière sexuelle est en vigueur depuis le 1er juillet 2024. Ces nouveautés concernent notamment les jeunes, par exemple sur la…

| Bettina Bichsel

Comment est-ce possible ? C'est la question qui prévaut lorsque les jeunes se radicalisent. Et en plus : Quel est le rôle d’Internet dans tout cela ?

| Bettina Bichsel

Il suffit de jeter un coup d’œil sur Instagram pour se rendre à l’évidence : elles existent bel et bien, les familles parfaites. Les réseaux sociaux peuvent…

| Bettina Bichsel

Les cas de pédocriminalités sur Internet se sont multipliés ces dernières années. Il faut donc redoubler d’efforts pour protéger les enfants et les jeunes.

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[Lien avec l'intégralité de l'article d'Anne Cordier (@supertitanne), Professeure des Universités en Sciences de...

[Lien avec l'intégralité de l'article d'Anne Cordier (@supertitanne), Professeure des Universités en Sciences de l’Information et de la Communication, Université de Lorraine, pour @theconversation.fr, dans notre bio] ▶ [Résumé de l'article] Le "doomscrolling", consistant à faire défiler sans fin des contenus anxiogènes sur les écrans, est un phénomène qui touche toutes les générations. Bien que souvent associé aux adolescents, il concerne également les adultes, tous étant soumis aux stratégies des plateformes visant à maximiser le temps de connexion. Les adolescents, particulièrement concernés par l'usage intensif du smartphone, éprouvent de la culpabilité face à ce comportement. Ils reconnaissent gaspiller du temps au détriment d'autres activités importantes. Cependant, ils développent diverses stratégies pour maîtriser leur usage numérique, comme l'activation du mode avion, la désinstallation temporaire d'applications chronophages, ou le choix de ne pas installer certaines applications jugées trop addictives. ❗ Pour aider les adolescents à faire face à ce phénomène, une approche éducative est préférable à un contrôle strict. L'éducation aux médias et à l'information doit intégrer cette problématique sociale et politique. Les adolescents aspirent à s'informer de manière plus sereine et à avoir un impact sur leur environnement. Il est recommandé de s'abonner à des "médias positifs" pour nourrir les algorithmes différemment et partager des informations enrichissantes. Le ralentissement face à l'accélération numérique est un enjeu majeur. Prendre le temps de la réflexion et de la maturation de la pensée est une qualité citoyenne essentielle. Paradoxalement, cela peut même passer par le fait de "scroller" ensemble, de manière plus consciente et maîtrisée. 👉 En fin de compte, la lutte contre le doomscrolling nécessite une prise de conscience collective, des efforts individuels et une régulation appropriée pour favoriser un usage plus équilibré et bénéfique des technologies numériques. #doomscrolling #bienêtrenumérique #ScreenTimeBalance #mindfulscrolling #digitaldetox #littératienumérique #educationauxmedias #gestiondutempsdecran

[Le lien avec l'intégralité de l'article créé avec l'aide de Perplexity.ai ainsi que les sources utilisées, est...

[Le lien avec l'intégralité de l'article créé avec l'aide de Perplexity.ai ainsi que les sources utilisées, est disponible dans notre bio] 👉 Les réseaux sociaux sont devenus un terrain fertile pour la diffusion de conseils de santé par des influenceurs, mais selon plusieurs sources, ces recommandations sont souvent erronées et potentiellement dangereuses, allant des régimes restrictifs aux remèdes "miracles" non prouvés. ℹ Voici quelques exemples courants de mauvais conseils identifiés dans les sources : 👉Promotion de régimes restrictifs et dangereux, comme le jeûne extrême ou l'élimination de groupes alimentaires entiers sans justification médicale. 👉Recommandation de produits "détox" ou de compléments alimentaires non prouvés scientifiquement, présentés comme des solutions miracles pour perdre du poids ou améliorer la santé. 👉Encouragement à l'automédication ou à l'arrêt de traitements prescrits par des professionnels de santé. 👉Diffusion de fausses informations sur les vaccins, remettant en question leur efficacité ou leur sécurité. 👉Promotion de techniques de bien-être non validées scientifiquement, comme certaines pratiques de méditation ou de respiration présentées comme des remèdes universels. 👉Conseils nutritionnels erronés, tels que l'élimination totale des glucides ou la consommation excessive de certains aliments "superfoods". 👉Recommandations d'exercices physiques potentiellement dangereux ou inadaptés à la condition physique de chacun. 👉Utilisation abusive de termes médicaux ou scientifiques pour donner une apparence de crédibilité à des affirmations non fondées. 👉Promotion de produits de beauté ou de soins corporels présentés comme ayant des vertus médicales, sans preuves scientifiques 📢 Les sources, respectivement les articles sur lesquelles Perplexity.ai - un outil d'intelligence artificielle générative qui permet, entre autres, de faire une synthèse de plusieurs sources - a créé cet article sont indiquées, et librement consultables, au sein de celui-ci. #influenceurs #influenceuses #marketingdinfluence #conseilssanté #reseausociaux #effethalo #espritcritique #détox #régime

[Lien avec l'intégralité du communiqué ainsi que l'accès au rapport du GREA, dans notre bio]

▶ [Résumé du communiqué]...

[Lien avec l'intégralité du communiqué ainsi que l'accès au rapport du GREA, dans notre bio] ▶ [Résumé du communiqué] Le GREA et le Fachverband Sucht ont publié un rapport de synthèse du Groupe d’expert·e·s mandaté par l’Office fédéral de la santé publique pour analyser les évolutions dans l’utilisation des écrans de 2021 à 2024. Ce rapport s'appuie sur la littérature et les données épidémiologiques récentes en Suisse pour évaluer la prévention et l’accompagnement liés aux comportements en ligne, avec un focus particulier sur les jeunes. Le terme « cyberaddiction » y est remplacé par « utilisation problématique ou à risque des écrans ». Les résultats montrent une augmentation de l'utilisation problématique des écrans. En 2022, 6,8% de la population suisse de 15 ans et plus, soit environ 500'000 personnes, étaient concernées, contre 3,8% en 2017. Les jeunes de 15 à 24 ans (22,2%) et les 25 à 34 ans (11,7%) sont les plus touchés, avec une prévalence plus élevée chez les femmes. La pandémie de COVID-19 a exacerbé cette tendance en raison des confinements et de l'utilisation accrue des médias numériques pour le travail et l'éducation. Par conséquent, le rapport se concentre particulièrement sur les enfants et les adolescents, groupes considérés comme vulnérables. Les expert·e·s notent des évolutions significatives dans les marchés des jeux vidéo et des réseaux sociaux depuis 2020, avec des mécanismes psychologiques utilisés pour générer des revenus, tels que les microtransactions et l’engagement continu des utilisateurs. Les frontières entre jeux vidéo et jeux de hasard deviennent floues, et les applications de shopping sont « gamifiées ». On observe également une augmentation des problèmes liés à la pornographie et aux paris sportifs en ligne. Il est donc crucial d’accompagner les jeunes et les adultes dans la gestion de ces offres numériques. #préventionécrans #UtilisationResponsable #santénumérique #jeunesetecrans #educationauxmedias #cybersécurité #bienetrenumerique #enfantsetecrans