Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

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De quoi s’est occupée l’équipe de Jeunes et médias en 2024 ? Et quels sont ses projets pour 2025 ? C’est ce que nous avons résumé ici pour vous.

Au printemps…

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La brochure sur les compétences numériques, qui s'adresse aux parents et aux personnes de référence des enfants et des jeunes, a été entièrement remaniée au…

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Les chiffres sont éloquents. En Suisse, un jeune sur deux déclare avoir déjà subi au moins une fois du harcèlement sexuel en ligne (étude JAMES 2022). Il ne…

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Lors de sa séance du 26 juin 2024, le Conseil fédéral a fixé l’entrée en vigueur de la première étape de la nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les…

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| Bettina Bichsel

Les médias numériques ont souvent fait les gros titres en 2024 (et pas toujours pour les meilleurs). Mais pour l’équipe de Jeunes et médias, il est important de…

| Bettina Bichsel

Le journaliste allemand Daniel Moßbrucker révèle dans un livre le caractère perfide des pédocriminels sur Internet. Les compétences numériques ou l’autodéfense…

| Nina Hobi | Bettina Bichsel

Il va sans dire que lorsque Mila est sur son terrain de football et Léon sur sa scène de hip-hop, nous – les parents – sommes aux premières loges pour les…

| Ella Müller

À 13 ans, ma fille a été victime d’un cybergroomer. Après l’arrestation et l’incarcération de ce dernier, Lina doit faire une déposition à la police. Mais…

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[Lien avec l'intégralité de l'article d'Amira Karray Derivois, Maître de conférences-HDR en psychologie clinique, pour...

[Lien avec l'intégralité de l'article d'Amira Karray Derivois, Maître de conférences-HDR en psychologie clinique, pour @theconversation.fr, dans notre bio] ▶️ [Résumé] Le harcèlement scolaire bouleverse profondément les familles, touchant autant les victimes que leurs auteurs et leurs parents. Ces situations, marquées par des séquelles psychologiques durables, fragilisent les liens parents-enfants et transforment la perception de la parentalité. Lorsqu'un enfant subit ou exerce des violences, les parents se sentent souvent démunis, confrontés à un sentiment de culpabilité et à la remise en question de leur rôle. Ils peuvent aussi voir resurgir leurs propres blessures d’enfance, exacerbées par une stigmatisation sociale et institutionnelle. Les parents d'enfants harcelés souffrent de ne pas avoir su déceler ou prévenir la détresse de leur enfant. Par ailleurs, ceux dont les enfants sont harceleurs éprouvent des difficultés à accepter et à gérer la cruauté exprimée par leurs enfants, souvent avec des réactions de minimisation ou de justification. Les émotions contradictoires, comme la colère ou la surprotection, peuvent isoler davantage les familles, qui peinent parfois à solliciter les aides nécessaires. Les recherches montrent cependant que l’implication active des parents, en collaboration avec l’école, est cruciale pour prévenir et gérer le harcèlement scolaire. Une alliance entre famille et école favorise la réduction des récidives et contribue à reconstruire le lien parent-enfant. Cela permet à l’enfant, qu’il soit victime ou harceleur, de retrouver une base sécurisante et de développer une identité personnelle dépassant son rôle dans ces violences. En reconnaissant le rôle clé des parents dans ce processus, on évite de les enfermer dans des sentiments de culpabilité ou de responsabilité exclusive. Ce soutien favorise une meilleure résilience, tant pour l’enfant que pour la famille, en créant des espaces de dialogue, de compréhension et d’accompagnement adaptés à ces situations complexes. #harcelementscolaire #soutienparental #préventionharcèlement #educationpositive #familleresiliente #SantéMentale #DialogueFamilleÉcole #stopharcelement

[Lien avec l'intégralité de l'article, en allemand, de Sarah Pfäffli pour @kleinstadt, dans notre bio]

▶ [Résumé] La...

[Lien avec l'intégralité de l'article, en allemand, de Sarah Pfäffli pour @kleinstadt, dans notre bio] ▶ [Résumé] La professeure Ulla Autenrieth, spécialiste en sciences des médias, apporte un éclairage nuancé sur les réseaux sociaux et leur impact sur les jeunes. Concernant le temps d'écran, elle préconise une approche flexible adaptée au contexte familial, comparant la gestion du temps à un récipient où les #réseauxsociaux devraient représenter le sable qui comble les espaces entre les activités plus importantes. En réponse au livre "Generation Anxiety" de Jonathan Haidt qui établit un lien direct entre réseaux sociaux et problèmes de #santémentale chez les jeunes, elle critique cette vision simpliste. Les difficultés psychologiques des jeunes résultent d'une combinaison de facteurs : pression scolaire accrue, inquiétudes face aux crises mondiales, inégalités sociales. Les études scientifiques sur l'impact des réseaux sociaux présentent des résultats contrastés, montrant aussi des effets positifs comme le développement de la créativité. Elle s'oppose à l'interdiction des réseaux sociaux avant 16 ans, estimant que cela risquerait de rompre le lien de confiance avec les jeunes et de les pousser à une utilisation clandestine. Les dangers comme le cyber-harcèlement ou la misogynie en ligne reflètent des problèmes sociétaux préexistants dont les réseaux sociaux ne sont que le canal de transmission. L'inquiétude actuelle face aux réseaux sociaux rappelle les craintes historiques liées à l'émergence de nouvelles technologies, comme la télévision dans les années 80 ou même les livres à leur époque. Pour les écoles, elle recommande une approche équilibrée : l'interdiction du téléphone peut être pertinente en primaire, mais doit s'accompagner d'une éducation aux médias. La Suisse, moins avancée que les pays scandinaves dans la numérisation scolaire, bénéficie de cette position modérée. Elle conserve des espaces de liberté précieux pour les enfants, comme la possibilité d'aller seul à l'école ou de jouer librement dans les parcs, constituant un contexte plus favorable que celui des États-Unis. #reseauxsociaux #éducationnumérique #parentalitepositive

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▶ [Résumé] Une étude de l’UNESCO dévoile que 62...

[Lien avec l'intégralité de l'article de l' @unesco_fr, dans notre bio] ▶ [Résumé] Une étude de l’UNESCO dévoile que 62 % des influenceurs ne vérifient pas systématiquement les informations qu’ils partagent, bien qu’ils occupent une position centrale dans la diffusion de contenus auprès de millions de personnes. Réalisée auprès de 500 influenceurs dans 45 pays, cette enquête mondiale intitulée « Derrière les écrans » met en lumière des pratiques préoccupantes : 42 % des créateurs de contenu se fient principalement au nombre de mentions "j’aime" ou de "partages", 21 % aux recommandations d’amis, et seulement une minorité privilégie des critères rigoureux. Par ailleurs, 59 % des influenceurs méconnaissent les normes internationales en matière de communication numérique, ce qui les expose à des risques juridiques et limite leur capacité à répondre aux discours de haine ou à protéger leurs droits. Un tiers des créateurs a d’ailleurs été ciblé par des propos haineux en ligne, mais seuls 20,4 % d’entre eux ont signalé ces incidents. Consciente de ces enjeux, l’UNESCO a collaboré avec le " @knightcenterut pour créer une formation unique, adaptée aux besoins des influenceurs et conçue avec leur participation. Ce programme mondial, suivi par plus de 9.000 inscrits de 160 pays, se concentre sur la vérification des informations, l’identification et la dénonciation des contenus problématiques, ainsi que la collaboration avec les journalistes pour renforcer la diffusion de faits avérés. Il vise également à renforcer la transparence des créateurs quant à leurs sources et à leur fournir une base solide sur la liberté d’expression et les cadres juridiques. Avec cette initiative, l’UNESCO ambitionne de transformer les influenceurs en alliés dans la lutte contre la désinformation et les discours haineux, répondant ainsi aux attentes de 73 % d’entre eux, désireux de se former pour exercer leur rôle avec plus de responsabilité et d’efficacité. #desinformation #vérificationdesfaits #responsabiliténumérique #réseauxsociaux #formationdigitale #educationauxmedias #luttecontrelahaine #créateursdecontenu #UNESCO #influenceurs

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[Lien avec l'intégralité de l'article de Bettina Bichsel, ainsi que des conseils pour les parents, dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/] ▶ [Résumé] Les fausses boutiques en ligne prolifèrent, attirant les consommateurs avec des prix alléchants et des offres séduisantes. Ces plateformes frauduleuses, qui imitent les sites de vente légitimes, ne livrent souvent rien ou des produits de mauvaise qualité. Le commerce en ligne, en plein essor, représente une cible idéale pour les cybercriminels. En Suisse, 14,4 milliards de francs ont été dépensés en 2023 dans ce secteur, illustrant son importance croissante. Un rapport récent révèle l’ampleur de cette arnaque : 76 000 sites frauduleux identifiés, 850 000 victimes et des millions d’euros perdus. Les escrocs misent sur des prix si attractifs qu’ils incitent les consommateurs à tenter leur chance, notamment pour de petits montants. Les démarches légales étant rares, les pertes individuelles s’accumulent, rendant ce modèle très lucratif. Ces arnaques se retrouvent aussi dans le dropshipping, où des produits de faible qualité sont proposés à prix élevés avec des délais de livraison excessifs. Certains indices peuvent aider à repérer ces pratiques : mentions légales douteuses, offres trop avantageuses, fautes d’orthographe, options de paiement restreintes, labels non certifiés ou commentaires clients exagérément positifs. 💡 Il est essentiel d’éduquer les jeunes, principaux adeptes du shopping en ligne, sur ces risques. En cas de doute, effectuer des recherches inversées d’images ou vérifier l’authenticité des labels peut prévenir les escroqueries. Si votre enfant s’est fait arnaquer, vous devriez faire annuler le paiement le plus vite possible auprès de la banque, de Twint, etc. Annoncez la tromperie auprès de la police et via le formulaire en ligne de l’Office fédéral de la cybersécurité. La vigilance reste la clé pour éviter les pièges du commerce en ligne. 👉 Vous trouverez plus d’informations à ce sujet sur notre site dans notre rubrique → "Acheter et télécharger". #shoppingenligne #arnaquesenligne #cybersécurité #acheterenligne #dropshipping #fraudeenligne