Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

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La brochure sur les compétences numériques, qui s'adresse aux parents et aux personnes de référence des enfants et des jeunes, a été entièrement remaniée au…

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Les chiffres sont éloquents. En Suisse, un jeune sur deux déclare avoir déjà subi au moins une fois du harcèlement sexuel en ligne (étude JAMES 2022). Il ne…

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Lors de sa séance du 26 juin 2024, le Conseil fédéral a fixé l’entrée en vigueur de la première étape de la nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les…

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Metta fin al mobing : c’est du romanche. Notre campagne contre le harcèlement et le cyberharcèlement « Not a joke » sera menée pour la deuxième fois ces…

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Mit 13 Jahren wurde meine Tochter Opfer eines Cybergroomers. Nachdem er erwischt und inhaftiert worden ist, muss Lina bei der Polizei aussagen. Zuerst erzählt…

| Noëmi Pommes

Malgré mes efforts pour lui donner une éducation non genrée, mon fils de 12 ans est confronté à des exemples et des idéaux de virilité douteux, voire toxiquex :…

| Bettina Bichsel

Elles ont l’air sérieuses et proposent des prix imbattables. Mais après avoir payé, vous ne recevez rien ou alors de la camelote. Comment aider les jeunes à…

| Ella Müller | Bettina Bichsel

À l’âge de 13 ans, ma fille a été victime d’abus sexuels sur Internet. La peur d’avoir commis une infraction s’ajoute à la honte et à l’expérience de la…

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▶ [Résumé] Les réseaux...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Nicolas Arpagian, pour Radio France, dans notre bio] ▶ [Résumé] Les réseaux sociaux européens font désormais l'objet d'une réglementation stricte depuis février 2024 avec l'entrée en vigueur du Digital Services Act (DSA). Ce règlement impose aux plateformes numériques opérant sur le marché européen de nouvelles obligations en matière de transparence et de modération des contenus. Les principaux acteurs concernés, qu'il s'agisse de réseaux sociaux, de places de marché ou de fournisseurs de services en ligne, doivent désormais publier des rapports semestriels détaillant leurs actions de supervision. Ces rapports, accessibles sur le site de la Commission européenne, présentent des données précises sur les retraits de contenus illicites, les fermetures de comptes et les demandes émanant des États membres. À titre d'exemple, TikTok a traité 144 000 signalements de contenus illégaux sur les six premiers mois de 2024, dont 29% ont été jugés non conformes. Shein a quant à lui reçu 62 demandes des autorités concernant des produits potentiellement dangereux. En termes de modération francophone, META dispose de 540 modérateurs, YouTube en compte 304, tandis que LinkedIn en emploie 32. Une nouvelle instance de recours a également vu le jour à Dublin fin octobre. Financée initialement par Meta à hauteur de 13,7 millions d'euros, cette structure extrajudiciaire traitera les contestations relatives aux décisions prises par Facebook, TikTok et YouTube en matière de harcèlement, d'incitation à la haine ou de suppression de comptes. Pour garantir son autonomie financière, le centre appliquera des frais de recours : 5 euros pour les particuliers et 95 euros pour les entreprises, remboursables en cas de contestation justifiée. #moderationreseauxsociaux #reseauxsociaux #DSA #UE #meta #tiktokeurope #protectionenligne #régulationnumérique #securiteinternet

[Lien avec l'intégralité de l'article de Noémie Lair & l’@afpfr, pour @francebleu, et le rapport de la Fondation pour...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Noémie Lair & l’@afpfr, pour @francebleu, et le rapport de la Fondation pour l'enfance, dans notre bio] ▶ [Résumé] Les contenus pédopornographiques connaissent une explosion inquiétante avec l'avènement de l'intelligence artificielle (IA). Plusieurs fondations européennes tirent la sonnette d'alarme face à la multiplication des montages vidéos et photos à caractère sexuel générés par l'IA. Ces contenus incluent notamment des vidéos d'enfants virtuels subissant des violences ou des images d'adolescentes dénudées où seul le visage est réel. En septembre 2023, plus de 20 000 images créées par IA ont été identifiées sur le dark web en seulement un mois. Si les logiciels grand public imposent des restrictions sur certains contenus, d'autres outils accessibles via le dark web permettent leur création sans limitation. Selon les prévisions de l'Office des mineurs, 95% des images pédocriminelles diffusées sur Internet dans les années à venir seront issues de l'IA. Cette prolifération engendre une banalisation des pratiques pédocriminelles et une objectification des enfants. La consommation de ces contenus augmente les comportements addictifs et le risque de passage à l'acte - estimé à 40% des cas par l'Office des mineurs en France (OFMIN). Face à cette menace, la Fondation pour l'enfance appelle à une réaction coordonnée des acteurs politiques, juridiques et technologiques. La situation nécessite une sensibilisation accrue du public, notamment sur les risques liés au partage de photos d'enfants sur les réseaux sociaux, susceptibles d'être utilisées pour entraîner des IA malveillantes. Un vide juridique concernant la création de montages sexuels représentant des mineurs doit être comblé. De plus, cette multiplication des contenus complique le travail des forces de l'ordre pour identifier et protéger les véritables victimes, comme le souligne @europol.eu. #intelligenceartificielle #protectionenfance #cybergrooming #pédocriminalité #CyberSécurité #sécuritéenligne #droitsdesenfants #parentaliténumerique #éducationnumérique #cyberprotection

[Lien avec l'intégralité de l'article d'Anthony pour developpez.com et l'étude de l'Oxford Internet Institut, dans notre...

[Lien avec l'intégralité de l'article d'Anthony pour developpez.com et l'étude de l'Oxford Internet Institut, dans notre bio] ▶ [Résumé] Une étude majeure menée par l' Oxford Internet Institut, de @oxford_uni, sur près de 12 000 enfants américains révèle qu'aucune preuve ne démontre un impact négatif du temps passé devant les écrans sur le développement cognitif et le bien-être des enfants. Cette recherche s'appuie sur les données de l'étude ABCD (Adolescent Brain Cognitive Development), la plus importante étude longitudinale sur le développement cérébral et la santé des enfants aux États-Unis. L'analyse a porté sur des enfants âgés de 9 à 12 ans pendant deux ans, évaluant leur temps quotidien consacré aux activités numériques, allant de zéro à plus de quatre heures par jour. Ces activités incluaient aussi bien le visionnage traditionnel (télévision, films) que l'utilisation de plateformes comme YouTube, les jeux vidéo, la communication via applications, appels vidéo et réseaux sociaux. Le développement neurologique des participants a été évalué par IRM, mesurant la connectivité cérébrale fonctionnelle. Des évaluations de la santé physique et mentale ont complété ces observations. Même chez les enfants présentant un engagement numérique élevé, aucune altération du développement cérébral n'a été constatée. 👉 Si les schémas de connectivité fonctionnelle du cerveau sont liés aux modes d'utilisation des écrans, aucune association significative n'a été établie avec les mesures du bien-être cognitif et mental, et ce même avec un seuil de preuve très bas. Cette étude remet ainsi en question les politiques visant à limiter le temps d'écran pour protéger le développement neurocognitif des enfants, appelant à une approche plus nuancée et scientifique des débats sur la technologie. #éducationnumérique #neurocognition #parentaliténumerique #enfantsetécrans #parentalitepositive #developpementenfant #neurosciencescognitives #santémentale #parentsconnectés #impactdesécrans #activiténumérique

[Lien avec l'intégralité de l'article de Salomé Ferraris pour @bfmtv, dans notre bio]

▶ [Résumé] Le jeu vidéo Call of...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Salomé Ferraris pour @bfmtv, dans notre bio] ▶ [Résumé] Le jeu vidéo Call of Duty, présent à la Paris Games Week 2024, continue d'attirer des foules de passionnés de tous âges. Si certains y jouent depuis 20 ans, les nouvelles générations s'enthousiasment également pour cette franchise emblématique. Au-delà de la simple nostalgie, les joueurs témoignent des bénéfices qu'ils en tirent, comme le développement du travail d'équipe et la gestion du stress. Contrairement aux préjugés tenaces sur la violence des jeux vidéo, notamment après la tuerie de Columbine en 1999, les études récentes démontrent l'absence de corrélation entre la pratique des jeux violents et les passages à l'acte dans la réalité. Une recherche menée à Singapour en 2020 sur 3000 adolescents révèle que le gaming n'augmente ni l'anxiété, ni la dépression, ni l'hyperactivité. De même, une étude publiée dans Cyberpsychology confirme que les joueurs de longue date ne manifestent pas plus de comportements violents que la moyenne. Si une certaine désensibilisation aux images violentes est observée chez les joueurs réguliers, les psychologues relativisent ce phénomène. Les gamers se concentrent davantage sur la stratégie et la technique que sur les éléments graphiques violents. Des recherches démontrent même que la pratique du jeu vidéo développe des compétences précieuses : communication, adaptation, contrôle des impulsions et mémoire s'améliorent chez les jeunes jouant trois heures quotidiennement. Les First Person Shooter (FPS) comme Call of Duty permettent notamment de perfectionner la précision visuelle, la représentation spatiale en 3D et la prise de décision rapide. La dimension collective du jeu favorise également la coopération et aide certains joueurs à sortir de leur isolement. Toutefois, la transposition de ces compétences dans la vie réelle reste difficile à démontrer scientifiquement, rappelant que Call of Duty demeure avant tout un divertissement populaire. #callofduty #Gaming #GamerFR #jeuxvidéo #PGW2024 #ESportFR #esportch #teamcod #softskills #GamingCommunity #PassionGaming #NoobToProGamer