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[Lien avec l'intégralité de notre article dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/]
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[Lien avec l'intégralité de notre article dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/] [Résumé de l'article] Je m'inquiète des demandes insistantes que reçoit ma fille de 13 ans pour obtenir des photos d'elle nue sur #Snapchat. Bien qu'elle refuse catégoriquement pour l'instant, je crains qu'elle ne cède un jour, fragilisée par les difficultés de l'adolescence. 30% des jeunes femmes souffrent de problèmes psychologiques à cet âge charnière où le corps change, l'estime de soi vacille et le besoin de reconnaissance par les pairs est immense. Ma fille traverse justement une période difficile, son corps se transforme et les compliments sur son physique prennent le pas sur ses autres qualités. Je redoute qu'un prédateur n'en profite pour gagner sa confiance, obtenir des photos compromettantes et la faire chanter. Je sais qu'il faut parler régulièrement de ces sujets, entretenir un lien de confiance pour qu'elle ose aborder les situations gênantes, et lui rappeler constamment que personne n'a le droit de la harceler sexuellement, même en ligne et de façon anonyme. Depuis son plus jeune âge, j'ai toujours pris le temps de discuter avec elle des risques et opportunités du monde numérique, comme le #cybergrooming, le sexting, la #sextorsion et le #cyberharcèlement. Mais les sujets évoluent constamment : ma petite fille qui adorait construire des mondes imaginaires en Playmobil s'est transformée, presque du jour au lendemain, en jeune femme. Elle se maquille, papote pendant des heures avec ses amis par chat vidéo et dépense presque tout son argent en vêtements. La prévention passe aussi par l'affirmation des limites personnelles et le droit de dire non. En cette période complexe, je souhaite accompagner ma fille, lui apprendre à s'affirmer et préserver son estime d'elle-même. Un défi que nous relèverons ensemble, main dans la main, pour qu'elle puisse s'épanouir sereinement dans ce monde numérique plein de promesses mais aussi de pièges. #nudes #sexting #consentement #estimedesoi #accompagnersesenfants #roledesparents

[Lien avec l’intégralité de l'article de Doriane Jaegers (Université de Liège) et Dominique Lafontaine (Université de...

[Lien avec l’intégralité de l'article de Doriane Jaegers (Université de Liège) et Dominique Lafontaine (Université de Liège), pour @theconversation.fr, dans notre bio] ▶ [Résumé de l'article] Les données de l'enquête PISA révèlent que, malgré des compétences en mathématiques similaires à celles des garçons à 15 ans, les filles ont tendance à manquer de confiance dans leurs capacités en mathématiques, ce qui influence négativement leur orientation vers ces disciplines. Les disparités observées dans l'orientation des jeunes filles vers les mathématiques et les sciences peuvent être atténuées par des approches pédagogiques adaptées. Les attitudes et comportements des enseignants, notamment en mathématiques, jouent un rôle crucial. Les recherches indiquent que les attentes moins élevées et les comportements différenciés à l'égard des filles peuvent impacter négativement leur motivation et leur orientation vers ces domaines. Pour contrer cette tendance, il est suggéré de mettre en avant l'utilité et les applications concrètes des mathématiques pour rendre la matière plus attrayante, notamment pour les filles qui valorisent les carrières ayant un impact humain et sociétal. L'encouragement à relever des défis mathématiques et à percevoir les mathématiques comme accessibles à tous constitue une autre stratégie recommandée. Les enseignants sont incités à soutenir activement les filles en soulignant leurs compétences en mathématiques, ce qui peut contribuer à renforcer leur confiance et leur intérêt pour la matière. L'approche pédagogique, privilégiant le soutien dans l'apprentissage plutôt que le seul réconfort psychologique, est soulignée comme un moyen efficace d'encourager les jeunes filles à envisager des carrières dans les domaines à forte composante mathématique. #femmesenmaths #parité #confianceensoi #pedagogieinnovante #défimathématique #orientationscolaire #motivationéducative

[Lien avec l'intégralité de l'article d'AARON BROWN, pour reason.com, dans notre bio]

▶ [Résumé, article original en...

[Lien avec l'intégralité de l'article d'AARON BROWN, pour reason.com, dans notre bio] ▶ [Résumé, article original en anglais] Jonathan Haidt, psychologue et professeur à l'Université de New York, affirme que les réseaux sociaux sont une cause majeure de la crise de #santémentale chez les adolescent.e.s. Cependant, une analyse approfondie des études citées par Haidt révèle des failles méthodologiques et des conclusions exagérées. La plupart des recherches se concentrent sur des corrélations faibles entre l'utilisation des réseaux sociaux et les symptômes dépressifs, sans établir de lien de causalité solide. De plus, les résultats sont souvent biaisés par l'inclusion de sujets non pertinents, comme les non-utilisateurs de réseaux sociaux ou les personnes non dépressives. Les études longitudinales, censées renforcer l'argument de causalité, souffrent également de lacunes. Elles ne parviennent pas à démontrer si l'utilisation des réseaux sociaux précède ou suit l'apparition de symptômes dépressifs. Les études expérimentales, quant à elles, sont entachées de problèmes méthodologiques, tels que l'autosélection des participant.es, le manque de contrôle et les erreurs de codage des données. De nombreuses études présentent des incohérences et des erreurs élémentaires, remettant en cause leur fiabilité. Pour établir un lien solide entre les réseaux sociaux et la dépression chez les adolescent.e.s, des études rigoureuses, avec des échantillons pertinents et des mesures fiables, sont nécessaires. Les chercheurs devraient se concentrer sur les cas cliniques de dépression liée à une utilisation excessive des réseaux sociaux, plutôt que sur des corrélations statistiques faibles. Une approche multidimensionnelle, tenant compte des facteurs individuels et contextuels, permettrait une compréhension plus nuancée de cette problématique complexe. Les études actuelles, bien que nombreuses, ne fournissent pas de preuves solides d'un lien causal majeur entre les réseaux sociaux et la dépression chez les adolescent.e.s. Des recherches plus approfondies et de meilleure qualité sont indispensables pour étayer cette hypothèse. #santémentaleadolescents #réseauxsociaux #dépression

[Lien avec l'intégralité du rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques (@the_oecd), dans...

[Lien avec l'intégralité du rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques (@the_oecd), dans notre bio] ▶ [Résumé] Le rapport Les faits sans le faux : lutter contre la désinformation, renforcer l’intégrité de l’information propose une vue d’ensemble des politiques publiques qui ont été conçues et mises en œuvre pour favoriser l’intégrité de l’information. Il évoque l’importance d’une approche globale, adaptée aux contextes nationaux et axée sur la nécessité d’instaurer un environnement propice à une information fiable. Il part du constat suivant : les démocraties se fondent sur la liberté d’expression et sur la tenue de débats ouverts et éclairés, et les acteurs doivent collaborer pour relever ces défis d’ampleur mondiale. ℹ Un cadre d’actions axé sur trois objectifs stratégiques complémentaires : 👉 renforcer la transparence, la responsabilité et la pluralité des sources d’information ; 👉 favoriser la résilience de la société face à la désinformation ; 👉 renforcer les mesures de gouvernance et l’architecture institutionnelle pour assurer l’intégrité de l’espace informationnel. Les débats et les sociétés démocratiques reposent sur un fondement : des individus bien informés. Or, on assiste à une montée en puissance de la propagation d’éléments d’information faux ou trompeurs, souvent dans le cadre de campagnes délibérées de désinformation menées par des acteurs nationaux ou étrangers, ce qui sème la confusion et exacerbe la polarisation, fausse le débat public et aggrave la perte de confiance à l’égard des pouvoirs publics. Dans un environnement informationnel en mutation rapide et redéfini par le numérique, il est donc urgent de renforcer l’intégrité des espaces informationnels et de lutter contre la désinformation afin de préserver le tissu de nos sociétés ouvertes et d’affermir la démocratie. Ce rapport a bénéficié d’une étroite collaboration avec les membres du Groupe de pilotage et du Groupe d’experts créés par l’#OCDE pour réfléchir aux réponses à apporter sur le terrain de la #gouvernancepublique face à la #mésinformation et à la #désinformation. #intégritédelinformation #luttecontreladésinformation